La continuité écologique d’un cours d’eau est définie comme :

• la libre circulation des organismes vivants et leur accès aux zones indispensables à leur reproduction, leur croissance, leur alimentation ou leur abri 
• le bon déroulement du transport naturel des sédiments.

Depuis plusieurs années des travaux ont été réalisés pour répondre à la Directive Cadre sur L'eau

• Abaissement ligne d'eau, passe à poissons.
• Nous gérons l'ouverture hivernale d'une douzaine de vannes sur des chaussées de la Petite et Grande Maine. Cette opération même ponctuelle permet d'optimiser le transport des sédiments et contribue à l'amélioration du fonctionnement des milieux aquatiques.
• Le nettoyage des berges reste un chantier permanent, malgré nos interventions et surtout celle de l'EPTB. nous faisons appel aux volontaires contactez nous

Clapet de la Mine  " avant " ( Chavagnes en Paillers)

Clapet de la Mine " après "

Pont Rambaud sur la Petite Maine ( Rabatelière)

Passe à poissons à 100 mètres en amont de la frayère du Sacré Coeur (Chavagnes en Paillers)

Travaux de renaturation en 2016, à proximité du plan d'eau des Renaudières, par le Conseil Général :

Retour à libre écoulement de l'eau, un fossé a été supprimé. La nature a retrouvé ses méandres d'antan, avec plus de biodiversité.

Une des missions premières chez le pêcheur, c'est d'être un protecteur de l'environnement et du milieu aquatique. Les pêcheurs sont des sentinelles des rivières, en faisant remonter des informations lorsqu'une pollution se produit, s'ils constatent une mortalité anormale, ou encore si un problème d'entretien de la rivière perturbe le poisson. Les pêcheurs constituent un réseau de surveillance très dense. Si vous détectez une pollution,  contactez nous

Des pollutions récurentes constatées depuis  2019

 Les services de l’Etat sont intervenus trois fois en 2019 aux herbiers : en avril sur Longuenais et en juin sur la Grande Maine, (en amont du lac de la Bultière). Les deux sont à l’origine de déversements accidentels. Ce sont les écosystèmes qui ont été détruits, avec une mortalité piscicole sévère. En juin, après les grandes chaleurs, ce fut aussi une grande mortalité au plan d'eau de la Maurosière. En janvier l’association va réintroduire certaines espèces repères indispensables à l’équilibre de nos rivières.              

L'Union des Ecluses a décidé d'investir dans du matériel de débroussaillage et rendre ainsi plus accessible, de nouveaux postes de pêche.

Si vous avez envie d'aider, merci de vous faire connaître en cliquant ici